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16 décembre

A force de photographier presque toujours la même vue, à savoir la mer vue de l’Atenea, j’ai pensé que j’avais un côté obsessionnel, ce qui m’a amenée à Opalka  (cliquez sur le nom pour en savoir plus y PARA LOS CASTELLANO HABLANTES,  aquí: http://anatomika.wordpress.com/2009/10/09/roman-opalka-elchicoquesumaba/#comments ) dont j’ai découvert l’obsession à la biennale d’art contemporain de Lyon en 1991 . Fou, fascinant. Là, savoir si on aime ou non n’a ni sens ni importance. Ça me fascine car je suis, et depuis longtemps et par « crises »  à la limite d’être tentée de faire pareil, non pas en peignant-traçant les chiffres de 1 jusqu’à …ce que mort s’ensuive ni de photographier le passage du temps sur mon visage jour après jour, mais en photographiant une vue,toujours la même, chaque jour, à telle heure. Par exemple. Ça déjà été fait bien sûr mais ce n’est pas ça qui m’empêche de céder à cette tentation. C’est que je ne supporterais pas longtemps cette obligation, même par moi imposée. Car ce serait très vite une obligation  et non un besoin, une nécessité. Ce que je me demande, c’est si Opalka se sent obligé de poursuivre son but ou si vraiment il ne peut faire autrement. Je ne sais pas, des deux cas de figure, lequel  traduit la plus grande « folie » .

A part ça, il a fait encore plus froid que hier, la preuve on a allumé un feu. Et c’était bon cette chaleur odorante et crépitante ( odorante car brûlaient des branches de romarin), avec un gâteau au chocolat qui cuisait dans le four et la bouilloire qui sifflait pour le thé. Cliché.


3 décembre

Cet après midi avant que le soleil ne se couche, quelques vues du palais des congrès et alentours.


29 octobre

Soleil du matin sur fleurs séchées, sur mur et plus tard sur le Paseo Maritimo où le peintre de réverbères…repeint .


21 octobre Aux Rochers

 Après-midi  « aux Rochers » et un peu plus haut sur la colline . J’ai vu l’homme au peigne  ( 3eme fois qu’il est cité, cet homme au peigne) sortir de l’eau sans frissonner et je ne l’ai pas regardé pour voir s’il se peignait compulsivement ,occupée que j’étais à observer une pêcheuse dont on aperçoit la prise : une petite dorade.

Vue de plus haut la mer jouait son Grand Bleu, mon Dieuuu que la mer est belle comme ne disait pas ce chanteur français que je n’aimais pas beaucoup… Jean Ferrat, c’est ça.Ça tient…